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ARTISTE : AWA, UN ART UNIQUE ET ULTRAMODERNE.

  • Photo du rédacteur: Zygmund Puza
    Zygmund Puza
  • 24 sept. 2014
  • 2 min de lecture

Né dans la petite ville de Bailleul dans les Flandres, mais désormais basé à Lille, AWA est un illustrateur aux créations à la fois baroques et ultramodernes.

Depuis l’enfance, Aurélien Wicart, alias AWA, s’est emparé de crayons et de pinceaux pour ne plus jamais les poser. En effet, la peinture est pour lui le moyen le plus simple de s’exprimer, mais aussi l’unique qu’il possède. Car écrivain ou musicien, Aurélien aurait aussi rêvé de l’être, mais sa passion pour la peinture est venue tout naturellement à lui, il s’y est donc adonné sans réfléchir.

"Je n’ai pas vraiment choisi ma passion pour la peinture, elle a toujours été l’art avec lequel je me sentais le plus à l’aise."

En 2005, il obtient un brevet des métiers d’art mais met sa passion de côté pour être saisonnier, car il aspire à voir du pays. Rapidement lassé par ce métier qui ne nourrit en rien ses envies artistiques, il rentre chez lui et se voit proposer une exposition, pour laquelle il offre une somptueuse série. Cette première opportunité décidera d’ailleurs le jeune homme à faire de sa passion, son métier.

Influencé au commencement par le Pop’Art, son art prend une direction nouvelle lorsqu’il découvre Jean-Michel Basquiat, une révélation à laquelle viennent ensuite s’ajouter de nombreux street artistes, dont le fameux Obey. Depuis maintenant trois ans, ses œuvres sont donc beaucoup plus inspirées par les deux grands arts urbains :Le street-art et l’art du tatouage.

"Je trouve cet art complet, parfait en tous points. Son Histoire, la technique d’approche, son évolution, le

corps humain qui devient une toile et qui change tout…"

Et le mélange de toutes ces influences est très certainement ce qui rend l’art d’Aurélien unique. Un art fait de personnages excentriques, posés sur des fonds qui nous rappellent Byzance. Pourtant, le processus de création du jeune artiste n’est jamais identique, variant au gré de ses idées et humeurs. Il peut tout aussi bien entamer une peinture sans même savoir comment elle finira, qu’imager une idée précise, formée au préalable dans son esprit. Mais, quoiqu’il en soit, tout commence inévitablement par un fond de café, l’ingrédient sans lequel Aurélien n’aborderait aucune toile. Il vient ensuite embellir ses œuvres à l’acrylique, pour les fignoler au Posca.

"Je ne vernis pas mes toiles, le fond de café apporte un côté brillant à la toile et l’acrylique une touche plus mate, j’aime ce rendu, donc je ne touche à rien."

Exposé à la galerie Artshop à ses débuts, ce prodige du troisième art a déjà plusieurs collaborations à son actif. Avec l’artiste Mister Ginger, ils ont livré une série de toiles exposées à la galerie du vieux Lille, L’encadreur. Il a également collaboré avec le sreet artiste Mister P, pour lequel il a customisé des têtes de Charles De Gaulle, qu’ils ont ensuite placardées dans les rues de Lille.

Dernièrement, Aurélien a rejoint le collectif Fuckolate Factory avec lequel il nous réserve certainement de nombreuses surprises !

source : www.wegotalent.com

 
 
 

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